lundi 21 février 2011

De Venise à Shoushi ...






Flâner dans les rues du passé
procure un curieux sentiment.
Chaque regard que l'on pose
est aussi une question :
Combien de vies ont vu naître
et mourir ces lieux ?
Quels bonheurs, quelles souffrances
derrière les façades des maisons ?
Que sait-on des drames, des destins
qui se sont joués
pour la grandeur d'une ville
l'avenir d'un peuple ?

Quand la ville est florissante
on suppose sa munificense
on devine sa douceur de vivre ;
on laisse à la rêverie
le soin de vous transporter
 vers un monde d'insouciance, de volupté ...

Quand la ville que l'on découvre,
dans le creuset de rudes montagnes
se dresse encore parmi des ruines,
on porte le regard vers les cimes. 
Leur beauté pénètre l'âme, l'illumine
faisant naître, comme une certitude,
la vision d'une gloire d'antan retrouvée !




  

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