dimanche 18 décembre 2011

Pourquoi faut-il toujours

Dzovinar - pastel - d'après Leonid Afremov


Pourquoi faut-il toujours
quand naît trop de beauté,
qu'elle illume le jour
l'inonde de bonheur
que se glisse au coeur
telle une épine, inséparable,
la douleur ?
Etrange couple
qu'un invisible lien
tient enchaîné pourtant.
Est-ce donc un sort inéluctable
que de ne pouvoir accueillir l'un, sans l'autre ?


Dzovinar



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Quelques lignes signalant votre passage me feront toujours plaisirs. Si vous n'avez pas de blog, vous pouvez néanmoins poster un commentaire en cliquant sur "Anonyme" et signer de votre nom ou un avatar. Amicalement,
Dzovinar