Les dernières images du film étreignent le coeur, laissent sans voix. Il n'y a rien à ajouter. En quelques séquences tout est expliqué. La gorge nouée, nous sortons sur le balcon ; La nuit est froide, complice de notre peine, et sur le ciel sombre se dessinent plus sombres encore le massif alangui du Capcir. Et puisqu'il faut que la douleur s'exprime, devant nos yeux brouillés de larmes d'autres cimes se superposent celles du pays où, respectueux de sa dernière volonté, reposeront à jamais au sein de la terre originelle, les cendres de celui qui fut un des témoins impuissants de l'horreur. C'était la dernière image d'un film dont le thème a dû sembler familier à tant d'entre nous.
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Dzovinar