ANOR
(Pour lui)
H. Berbérian
Mon coeur vole et mon corps est moulu
comme farine sous la meule de pierre du moulin.
Quand s'éclairera ma nuit longue comme un siècle ?
Quand verrai-je ce garçon lumineux comme la croix ?
Si je le voyais, disais-je,
je lui donnerais la rose que je tiens ;
s'il refuse la rose, je lui donnerais une pomme d'or ;
s'il ignore la pomme, j'arracherais mes cheveux
pour les lui offrir - et s'il les refuse encore
alors j'arracherais mon âme pour lui en faire don !
Merci ! Je prendrai connaissance de vos sites. Bonne continuation. Amicalement,
RépondreSupprimerDzovinar