lundi 30 octobre 2023

LA FONDATION DE VAN et SÉMIRAMIS - (Sonia Mouradian )

LA FONDATION DE VAN et SÉMIRAMIS - (Sonia Mouradian )



LA FONDATION DE VAN et SÉMIRAMIS

Après la mort dramatique d'Ara le Beau, Roi d'Arménie (IXeme s. avant JC) qui avait rejeté son amour, Sémiramis*, Reine de Syrie et de Babylone, resta dans la plaine d’Arménie, appelée Aïrarat.

Pour adoucir son chagrin, elle envisagea de découvrir le pays réputé pour ses belles vallées et ses plaines fleuries, et profitant ainsi de l'été, elle prit la route vers les montagnes du sud... Éblouie par la beauté exceptionnelle des  terres d'Arménie, des montagnes, de l'eau des rivières à profusion, et le merveilleux climat, Sémiramis décida  :

Nous allons construire, une ville et un palais dans ce pays si beau, et si riche de rivières et d'eaux pures !!

Ainsi nous pourrions passer la saison estivale, dans les terres d'Arménie, et les trois saisons froides de l'année, nous les passerons à  Ninive ".

Après avoir inspecté minutieusement toute la région,  elle revint vers la rive orientale du lac salé...

Sur sa rive, elle vit une belle colline exposée au soleil couchant,  et au sud de la colline une large vallée spacieuse semblable à une plaine jusque la rive du lac.

Les ruisseaux d'eau douce descendaient des montagnes jusque dans les ravins, et se rejoignaient autour des contreforts des collines pour rejoindre la rivière...

Aucun bâtiment n'était construit dans la vallée, ni sur la rive gauche , ni sur la rive droite.

La reine avait enfin trouvé l'emplacement idéal pour sa cité et son palais !

On ignore beaucoup de l'Histoire et de ce qui advient de Sémiramis, mais ce dont nous sommes surs c'est que la Reine Sémiramis mourut en Arménie, d'après les extraits de Moïse de Khorène**


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Moïse de KhorèneMovsès Khorenatsi ou Movsēs Xorenac‘i (en arménien Մովսես Խորենացի ; né vers 410, mort vers 490) est, selon la tradition et une partie des spécialistes, un historien arménien du ve siècle, ainsi qu'un poète, un hymnodiste et un grammairien ; d'autres spécialistes, se fondant sur son œuvre, estiment cependant qu'il aurait vécu à une époque plus tardive, entre les viie et ixe siècles, de telle sorte que ses dates biographiques sont encore l'objet d'une controverse non tranchée.

voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mo%C3%AFse_de_Khor%C3%A8ne

 

ARMENIE NOTRE MERE !


(Alexandre Dumas) (Via Sonia Mouradian/facebook)

"C'est en Arménie qu'était situé le paradis terrestre. C'est en Arménie que prenaient leur source les quatre fleuves primitifs qui arrosaient la terre. C'est sur la plus haute montagne de l'Arménie que s'est arrêtée l'arche. 

C'est en Arménie que s'est repeuplé le monde détruit. C'est en Arménie, enfin que Noé, le patron des buveurs de tous les pays a planté la vigne et essayé la puissance du vin." 

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jeudi 12 octobre 2023

Réflexions de science politique sur l’actualité Général (2S) Henri ROURE - 11 octobre 2023

 Réflexions de science politique  sur l’actualité 

Général (2S) Henri ROURE 

11 octobre 2023

 Que dire de ces horreurs ? De la continuité islamique

 

Dans le concret de l’actualité et des relations internationales, Israël joue avec le feu. Il se sent assuré de sa force militaire et du soutien indéfectible de la diaspora juive. Elle participe au pouvoir, dans les puissances occidentales, notamment aux États-Unis. L’immense majorité de sa population vient de ces pays riches et se considère pleinement membre de cet Occident tant décrié aujourd’hui par de nombreux États. En conséquence Israël en expose les suffisances, mais aussi les faiblesses. Il s’agit d’une nation occidentale insérée en Orient. 

Ne pas avoir vu que le monde musulman cernant l’État hébreux apprenait de ses défaites militaires est une première faute. Avoir cru que les accords d’Abraham avec quelques États arabes, ou se disant arabes, auguraient d’une évolution vers l’acceptation totale du pays, était minorer l’impact du renouveau islamique dans les populations. 

Désormais Israël est confronté très directement à l’opposition multi-séculaire entre le monde judéo-chrétien et l’Islam. Il ne faut jamais sous-estimer l’adversaire ni lui montrer du mépris. À titre d’exemple de cette confiance en soi dédaigneuse, cette rave-party. Les délires d’une jeunesse favorisée pouvaient s’y exprimer. Son organisation à quelques kilomètres de la frontière de la bande de Gaza, miséreuse et surpeuplée, n’était rien d’autre pour les ennemis d’Israël, qu’une nième provocation. Un autre exemple de ce dangereux complexe de supériorité d’Israël, se constate dans son alliance avec l’Azerbaïdjan chiite. Israël y trouve évidemment un intérêt en matière de renseignements face à l’Iran, mais aussi pour son approvisionnement en pétrole. 

Il 

importe 30 % de la production azerbaïdjanaise. Il pourrait évi-demment trouver ailleurs de quoi satisfaire ses besoins aussi bien en hydrocarbures qu’en collecte d’informations. Israël s’est ainsi montré complice d’une agression musulmane contre le peuple catholique arménien qui pourtant, comme lui, participe au même univers judéo-chrétien. Israël se doit de renouer avec la prudence et se mettre en conformité avec les intérêts globaux du monde auquel il appartient. La vieille guerre entre l’Islam et le judéo-christianisme redevient incandescente. 

Les événements d’Arménie et d’Israël m’ont donc amené à me pencher à nouveau sur les origines de l’Islam afin de rappeler ce qu’il est. Son intangibilité permet de comprendre ses méfaits dans le monde judéo-chrétien depuis une cinquantaine d’années. Les événements d’Arménie et d’Israël s’inscrivent dans cet affrontement voulu par Mahomet. Jusqu’à ce jour la victoire totale qu’il imaginait ne s’est pas produite… 

Cette religion née au septième siècle est toujours une menace ouverte contre l’humanité. je relisais récemment la biographie de Mahomet par Ibn Hicham, et pour la nième fois j’en ai conclu que ce commerçant chamelier, entouré de tribus animistes, chrétiennes et juives, s’est inspiré, pour bâtir son système religieux, de ce qu’il avait retenu du judaïsme et de son prolongement chrétien, en y ajoutant pour faire bonne mesure une dose de paganisme. Ambitieux, intelligent, ayant la volonté et l’orgueil d’un conquérant et la parole facile, il eut l’idée d’une interprétation de ce qu’il avait plus ou moins bien retenu de ses rencontres avec les rabbins et les moines. À l’époque, au début du septième siècle, se dire inspiré de Dieu ou mieux, d’être son envoyé 


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s’avérait la meilleure façon d’être pris au sérieux et d’obtenir l’audience suffisante pour régner sur des populations frustes. 

À partir de ces notions, il bâtit cette religion qui depuis sa création perturbe gravement le monde. D’emblée il conçut son affaire comme un moyen de prendre le pouvoir sur les tribus arabes et de subjuguer d’autres peuples. Là fut son génie. Pour assouvir son orgueil et sa soif de domination, il fut le premier à imaginer ce qui aujourd’hui se nomme idéologie. Je parle pour l’islam d’idéologie religieuse. Se faire passer pour le messager de Dieu inspiré par Gibril, l’archange Gabriel, ne pouvait que fasciner son entourage et se propager de relais en relais. 

Du paganisme il a conservé, la Mecque comme lieu-saint, la Kaaba qui était le sanctuaire des divinités et idoles arabes et les sept tours à faire autour d’elle, tout comme le puits de Zamzam où se seraient abreuvés, selon la tradition orientale, Agar, la servante d’Abraham et leur fils Ismaël. Des Juifs et des Chrétiens le Dieu unique, Jérusalem, autre ville sainte, et Abraham le premier croyant en ce même Dieu. À partir du christianisme, il a composé un Jésus prophète, né de la Vierge Marie (citée plus de trente fois dans le Coran), mais absolument pas fils de Dieu, ni fils de Joseph. À l’évidence pour faire du neuf il fallait éliminer cet aspect qui concluait la Révélation et revenir au Dieu des Juifs en condamnant l’idée de la Trinité. Il était cependant impossible de nier que Jésus avait vécu, ni sa dimension. Il imagina donc un Jésus, le plus grand des prophètes, ayant eu mission de l’annoncer, lui Mahomet. Jésus devait revenir à la fin des temps. Il faut bien reconnaître dans une telle assertion, l’orgueil démesuré du personnage, mais aussi un moyen remarquable de se sacraliser.


Pour dominer vraiment il fallait convaincre les tribus païennes arabes et convertir ou soumettre Juifs et Chrétiens. Il commença par sa propre tribu, les Quraych contre lesquels il n’hésita pas à se battre. Il poursuivit par l’arc et le sabre sa conquête en massacrant païens, juifs et chrétiens. Il mit au point l’idée du Djihad, la guerre sainte, et engagea des expéditions meurtrières contre ses adversaires, les Juifs de Médine, la tribu juive des Banū Qu-raiza puis contre les Juifs de Khaybar. Ses premiers successeurs, les califes Abou-Bakar et Omar, puis Othman, lancèrent l’islam à la conquête militaire du Proche et du Moyen-Orient. La suite, globalement nous la connaissons. L’Islam se répandit à la vitesse d’une traînée de poudre jusqu’à envahir l’Espagne qui fut occupée et en guerre pendant sept siècles, mais aussi une partie de l’Asie. L’histoire de l’Islam abonde d’abominables massacres. 

Le biographe de Mahomet, Ibn Isham - je viens de le relire- rapporte que pour lui, le meurtre politique était considéré à l’instar d’une opération de guerre et s’avérait légitime contre les ennemis de l’Islam. Il est vrai que le comportement de Mahomet, à l’égard de ceux qui le gênaient, était loin de pouvoir s’inscrire dans la morale chrétienne, dans une vision humaniste, ou même de répondre aux 10 commandements auxquels, pourtant, le Coran se réfère. Il a assassiné, fait la guerre et converti par la force. Il a dirigé lui-même 27 opérations militaires et en a ordonné 38 autres. Durant tous ces épisodes guerriers, il n’a sûrement pas prêché l’amour du prochain... Ainsi, ce qui est condamnable dans la civilisation chrétienne, n’apparaît pas particulièrement criminel aux yeux de ceux qui le reconnaissent comme prophète et connaissent sa vie. On est, en effet, bien loin de l’enseigne- 

ment du Christ ou du Bouddha ou de l’humanisme laïque. Égorger, violer, massacrer par tous les moyens les infidèles, ces actes contribuent à la gloire de Dieu. 

Mahomet avait bien compris dès le début de son aventure que la seule concurrence véritable pouvait venir des juifs et des chrétiens. En attendant de les convertir, il en fit des dhimmis des tributaires soumis au bon vouloir des musulmans. Quelques versets sont particulièrement éloquents quant à l’attitude de l’Islam à l’égard des chrétiens et des juifs. 

« O vous qui croyez ! Ne prenez pas pour amis les juifs et les chrétiens ; ils sont amis les uns des autres. Celui qui, parmi vous, les prend pour amis, est des leurs. Dieu ne dirige pas le peuple injuste1 ; « […] combattez-les (les juifs et les chrétiens) afin que Dieu les châtie par vos mains2 », « […] les juifs et les chrétiens et les païens (les infidèles) brûleront dans le feu de la géhenne à jamais. Ils sont les plus pervers de tous les êtres créés3 ». Et dans les hadiths, censés reprendre les propos de Mahomet, dont sont tirées les règles de comportement du musulman, l’expression est parfois plus terrible : 

1sourate V La Table, verset 56 

2sourate IX Le repentir, verset 14 

3sourate 98 Le signe évident, verset 6 

« Le Prophète a tué́ les hommes de la tribu juive Bani Quraiza (quelques 600 à 800 personnes) et a distribué́ leurs femmes, enfants et propriétés, parmi les musulmans. Tous les autres juifs de Médine ont été exilés […] », « […] vous combattrez les juifs et 


 7 aurez le dessus sur eux de sorte que la pierre dira : ô musulman ! Voici un juif caché derrière moi…viens le tuer ». 

Les prédicateurs dans les mosquées, le vendredi, concluent leur prêche en disant « Ô Allah ! Accorde-nous la victoire sur les juifs, qui sont tes ennemis, mais aussi les ennemis de notre religion ! (les fidèles répondent Amen) O Allah ! Fais périr les mécréants, les polythéistes et les ennemis de l’islam ! (Amen). Curieusement amen est un terme hébreux, utilisé par les juifs et les chrétiens, signifiant ainsi soit-il ! 

Comment peut-on imaginer que ces mots immuables parce que sacrés, puissent permettre de modifier, génération après génération, le comportement de ceux qui y croient ? N’oublions pas que le Coran aurait été dicté à Mahomet par l’archange Gabriel messager de Dieu… 

Ce qui vient de se passer en Israël, contraire à toute humanité, n’est que la reproduction de ce qui jalonne l’histoire du monde dans ses rapports avec les musulmans. La férocité est partie intégrante des procédés de conquête islamique. En 1399, le Turco-Mongol Tamerlan, lors de la prise de Delhi, fit massacrer, en une seule journée, 100 000 Hindous. La conquête de l’Afghanistan, se traduisit par un véritable remplacement de population. Tous les habitants furent exterminés. Il ne s’agit là que de quelques exemples. Depuis toujours les musulmans ont cherché à subjuguer le monde chrétien et au-delà, alors que dire s’agissant d’Israël qui s’est établi sur une terre regardée comme musulmane ! Rappelons que le terrorisme a été imaginé comme moyen de soumission des populations par Hassan Ibn al Sabbah le 


grand-maître de la secte des assassins, réfugié dans sa forteresse au sommet du piton rocheux d’Alamut dans l’ancienne Perse. 

Que dire des atrocités commises de nos jours ? Aucun grand pays n’est épargné. Souvenons-nous du Bataclan, de Charlie-Hebdo ou des crimes de Mehra, des attentats de Madrid, de Londres ou de l’abominable attaque du 11 septembre 2001 aux États-Unis. Les attentats se sont multipliés, au nom des paroles incohérentes d’un bédouin belliqueux, endeuillant des milliers de familles paisibles. 

L’humanité s’est ainsi habituée aux massacres perpétrés par les mahométans. Il n’y aura jamais d’équivalent du tribunal de Nuremberg pour juger les imams et les prédicateurs, car l’an-cienneté des forfaits qu’ils soutiennent et perpétuent, les a inscrits dans une sorte de coutume historique. Les chrétiens d’Orient ne peuvent que susciter notre admiration. Ils continuent à vivre sous la menace permanente des adeptes les plus fanatiques de cette idéologie religieuse. Ils subissent régulièrement leur haine. 

Les infortunés Arméniens enfants du premier État chrétien, chassés du Haut-Karabagh par les musulmans azerbaïdjanais, se trouvent bien seuls pour se défendre. Les malheurs portés par l’islam balisent leur histoire ; des centaines de milliers d’Arméniens exécutés entre 1894 et 1896, par ordre du sultan Abdul-Hamid, en passant par la déportation vers la Syrie organisée par les Jeunes-Turcs, jusqu’aux guerres qu’ils subissent aujourd’hui. 


Les malheureux Arméniens, s’ils disposent de l’appui de leur diaspora, toutefois bien moins puissante que celle des juifs, ne peuvent compter que sur le soutien incertain de la Russie, dont ils approuvent l’opération spéciale en Ukraine. 

Subissant les mêmes menaces et agressions, il est incompréhensible qu’Israël pour des raisons circonstancielles, ait fourni des armes à l’Azerbaïdjan, contrairement à ses intérêts à long terme. 

Ces événements doivent conduire les Français à se poser la question suivante avec acuité : que faut-il faire face à ce totalitarisme meurtrier ? 

Il est urgent de réagir et tout d’abord de considérer l’islam pour ce qu’il est, c’est-à-dire une idéologie portant en elle une barbarie moyenâgeuse. Elle est particulièrement hostile à notre civilisation. Il faut admettre qu’elle est trompeuse et que le principe de la taquyiya permet au musulman de mentir effrontément. La laïcité est une philosophie appliquée qui lui est incompréhensible. 

On ne négocie pas avec l’Islam. Soit on le domine, soit il conquiert et profite de nos lâchetés. Ainsi du fait de notre faiblesse, il est aujourd’hui en expansion. Il faudrait être aveugle pour ne pas constater qu’au-delà d’Israël, c’est l’Occident, dans cette rave-party et ailleurs en Israël, qui a été attaqué. Il faudrait être inconscient pour ne pas reconnaître que l’exode massif provoqué des chrétiens de Haut Karabagh, fait définitivement de cette région une terre musulmane. Il faut être bien naïf, ou manquer du 

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plus élémentaire courage, pour ne pas agir désormais par la force, contre l’invasion islamique de notre pays par le biais d’une immigration massive. 

Bossuet dans le Panégyrique de Saint Pierre Nolasque disait : 

L’islam ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers. 

Montesquieu, dans l’Esprit des lois, s’exprime sur le même registre : 

La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée. 


Général (2S) Henri ROURE 

À conseiller ces deux ouvrages sur le sujet 

Ouvrages à télécharger au format numérique sur : 

https://www.decitre.fr/ebooks/nous-gagnerons-cette-guerre-analyse-des-causes-moyens-et-modalites-dans-l-affrontement-possible-avec-l-islam-9782376291107_9782376291107_2.html 

https://www.decitre.fr/ebooks/sauvons-notre-laicite-essai-sur-la-crise-musulmane-en-france-9782376290872_9782376290872_2.html 

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