Ayvazovski
Comme les ombres
feuillages emmêlés
au vent des songes
dansent au crépuscule
Comme l'écume
tempêtes furieuses
ourle de vagues
les lèvres océanes
Comme les brumes
au ciel suspendu
tamisant l'aurore
effilochent le jour
Et comme le chant
des âmes perdues
ignorant l'oubli
hante la mémoire
Je suis
Je suis
Un poème d'une beauté incroyable...
RépondreSupprimerGrand merci !
RépondreSupprimer