Tu marches…
Les mains devant à tâter l’inconnu,
Guidé par ta blessure vers la lumière des arbres.
Même rituel, terrible, aveugle et lent.
Qu’as-tu perdu que toujours tu le quêtes ?
Fille de ton corps avant toi disparue,
Tout au bout de ta voix,
Quand tu parles
Des petits riens qui te ruinent le temps.
Denis Donikian
très fort et si tendre. bonne journée Dzovinar
RépondreSupprimerLes oeuvres littéraires de Denis Donikian sont empreintes de force, de véhémence, d'âpreté, de lucidité, d'humour, de tendresse. Beaucoup l'ont déjà reconnu comme un très grand écrivain - mais pas assez encore - Merci pour lui d'avoir su entrevoir son immense talent.
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