En écoutant Glenn
tu peux imaginer
tu peux imaginer
être au coin du feu
à côté de son piano
pour recevoir
cette pluie de notes
et te combler
de bonheur
car tu ne demandes
que ce que tu as
en raison du jeu
de la complétude
qui ne transgresse
ni les théorèmes
ni la volonté
du maître de musique
qui ne se cache
derrière le mythe
pour mettre
en avant l’essence
d’une musique
diachronique
maîtrisée
par le contrepoint
à la ligne.
Variations Goldberg de JS Bach, joué par Glenn Gould en 1981.
En écoutant Glenn
Dzovinar
Il tassait sa haute stature
dans le fauteuil,
En écoutant Glenn
Dzovinar
Il tassait sa haute stature
dans le fauteuil,
le visage
presqu'au ras des notes
pour être au plus près
de l'instrument,
comme pour ne faire qu'un avec lui.
Alors ses mains volaient
sur le clavier ...
de son toucher incomparable
naissait aussitôt
l'oeuvre dans sa
plus belle expression.
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Bonsoir
RépondreSupprimerDans le dernier beau livre de Christian Bobin, il y a une nouvelle très émouvante sur cet Ange du piano qui s'intitule "L'irrésistible".
Amitié
Bonsoir Yanis. Je ne connais pas cet écrivain, ni son livre évidemment. Si l'occasion se présente ...Merci de l'avoir signalé.
RépondreSupprimerA bientôt.
Amicalement
Fabuleux interprète du Maître.Et un ressenti plein de justesse.
RépondreSupprimerJe lis dans les com. le nom de Christian Bobin. C'est vraiment étrange...trois fois que je rencontre ce nom dans des endroits différents en deux jours (je ne le connaissais pas non plus avant hier).
C(est qu'il faut que je m'y penche je pense... donc merci!
On aime bien croire aux signes du hasard ; c'est vrai qu'ils peuvent réserver de bonnes surprises et surtout conduire à de vraies découvertes.
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