(Pastel - Dzovinar)
Sur la route, à l'infini,
s'alignent les oliviers
qui se déploient,
ombres argentines
sous le soleil ébouriffé
d'un timide printemps
qui se montre à peine.
Traversant la douce plaine de l'Argolide
où se plaisent les orangers
me sont venues de souriantes pensées
pour l'ami
enfant si particulier
d'un pays radieux
où se nouent, spontanées, naturelles,
les amitiés .
Et je songe à l'olivier
quand pousse un nouveau rameau
à la branche qui l'accueille
aussitôt
lui offrant alors sans compter
pour lui permettre de croître, d'exister,
toute sa force et sa beauté.
°
°°
Heureux anniversaire, ami cher à mon coeur
Dzovinar
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