Brûlées les ailes que j'aimais
qui, depuis longtemps me portaient
- trop téméraires ? -
vers des rêves
que je croyais possibles ...
Etaient-ils donc si vains
insensés,
et mon exaltation démesurée ...
Quand mes mains parfois,
se tendent encore vers eux,
les appellent,
elles ne rencontrent que le vide
et le froid du néant
Ô mes ailes
qui m'avez portée si haut
et que j'ai tant aimées,
pourquoi m'avez-vous abandonnée.
Dzovinar
Icare - détail - Nikos Lygeros
...comme les papillons que la Lumière attire...
RépondreSupprimerBises.
Aussi.
SupprimerBises