Musée de l'Histoire Russe - Place Rouge
Le kremlin (forteresse en ville) - la Place rouge - la tour du Kremlin (4 horloges) - Mausolée de Lénine - Eglise de Kazan - Centre commercial (très fleuri) - Pont de la Moskva et la rivière du même nom (Moscou) - Panorama sur la ville - Le stade - Le lac et le couvent Novochievitchi (1524) - rue piétonne et la maison de Pouchkine (3 mois lors de son mariage avec Nathalie) -Pouchkine et Nathalie - Galerie Glazounov (Ilya Sergueïevitch) et ses oeuvres étonnantes (http://www.tanais.info/art/glazunov.html) - Tableau 1 "Le marché de notre Démocratie - 1999" et détails - Tableau 2 (Mystère du XXe siècle - 1999) - tableau 3 (La destruction de l'église la veille de Pâques -1999) - et concert dans la même salle jouissant d'une acoustique parfaite avec un ensemble de 10 interprètes professionnels de haut niveau : une splendeur !
Place et Eglise St-Basile
Par Антон Денисенко — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=11028337
On doit vraisemblablement la construction de la cathédrale au Tsar Ivan IV le Terrible. En 1552, le Tsar Ivan IV revient victorieux d’une campagne contre les Tatars avec la prise du royaume de Kazan. Pour célébrer cette victoire, il souhaite construire un monument pour commémorer cet événement.
Par Антон Денисенко — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=11028337
On doit vraisemblablement la construction de la cathédrale au Tsar Ivan IV le Terrible. En 1552, le Tsar Ivan IV revient victorieux d’une campagne contre les Tatars avec la prise du royaume de Kazan. Pour célébrer cette victoire, il souhaite construire un monument pour commémorer cet événement.
Minine et le Prince Pajorski
Le monument a été inauguré le 20 février 1818. Le sculpteur Ivan Petrovitch Martos a représenté Minine (à gauche) appelant le prince Pojarski blessé pour qu’il se mette à la tête de l’armée russe et balaie l’ennemi hors de Moscou. Minine donne son glaive au prince et montre le Kremlin de la main en appelant à défendre la patrie.
Le monument a été inauguré le 20 février 1818. Le sculpteur Ivan Petrovitch Martos a représenté Minine (à gauche) appelant le prince Pojarski blessé pour qu’il se mette à la tête de l’armée russe et balaie l’ennemi hors de Moscou. Minine donne son glaive au prince et montre le Kremlin de la main en appelant à défendre la patrie.
Tableau 1 (Le marché de notre démocratie - 1999)
détail (1)
tableau 2 (Mystère du XXe siècle - 1999)
Le poète Vladimir Maïakovski (1893-1930)
Une certitude, il rédigea sa propre épitaphe deux jours avant sa mort : « Le canot de l'amour s'est fracassé contre la vie (courante). Comme on dit, l'incident est clos. Avec vous, nous sommes quittes. N'accusez personne de ma mort. Le défunt a horreur des cancans. Au diable les douleurs, les angoisses et les torts réciproques !... Soyez Heureux ! ».
On trouvera aussi ce mot : « Maman, mes sœurs, mes amis pardonnez-moi - ce n'est pas la voie ( je ne la recommande à personne ) mais il n'y a pas d'autre chemin possible pour moi. Lili aime-moi ! ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vladimir_Ma%C3%AFakovski
Nicolaï Vassiliévitch Gogol (1809-1852)
prosateur, dramaturge, poète, critique littéraire et publiciste russe
d'origine ukrainienne.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Gogol
« Le tonnerre, les chants, les rires allaient
s’affaiblissant. L’archet se mourait, exhalant dans le vide
de l’air des sons imprécis. On entendit encore un piétinement,
quelque chose de semblable au grondement de la
mer lointaine ; et bientôt tout se tut.
« N’est-ce point ainsi que s’envole loin de nous la joie,
belle et volage visiteuse, et qu’en vain une voix isolée
pense exprimer la gaieté ! Dans son propre écho, elle per-
çoit avec épouvante une note de tristesse et de solitude.
N’est-ce point ainsi que se dispersent l’un après l’autre les
folâtres amis d’une libre et turbulente jeunesse, abandonnant
leur vieux compagnon à son triste sort ? Un lourd
chagrin envahit le cœur de l’infortuné, et rien ne saurait
le consoler ».(Les Ames mortes)
N’est-ce pas pour de semblables couplets que Pouchkine
appelait Gogol un grand mélancolique ?
On objectera sans doute le merveilleux dont ces récits
sont pleins : Gogol, dira-t-on, a fini par s’en débarrasser
complètement. Est-ce bien sûr ? Élevé par une mère superstitieuse,
superstitieux dès l’enfance, Gogol a toujours
admis l’influence des forces surnaturelles ; mais la diablerie
oukraïnienne — ondines, sorciers, diablotins — cédera
tôt place dans son esprit au maître des choses secrètes,
à Satan en personne. Il croira à l’existence physique du
Démon ; il luttera longtemps avec lui ; il le vaincra à
l’heure suprême.
http://bibliotheque-russe-et-slave.com/Livres/Gogol%20-%20Les%20Ames%20mortes.pdf
Un voyage qui semble magnifique mais je ne peux voir les photos .
RépondreSupprimerToutes les photos que j'ai "piquées" sur internet ont été zappées - Ne subsistent que celles que j'ai prises moi-même … Je vais les ôter
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