feutres - Dzovinar
Tu m'as appelée ce matin-là pour me dire
- Manma*, ce soir sur Arte ... "Aghet" ...
Ah comment avais-je pu penser
que tu étais indifférent !
Si la vie n'a pas de sens,
tant que nous la vivons
nous devons croire que nous lui en donnons
par notre amour, notre souffrance,
et notre compassion.
Et quand plus tard, tu es venu me voir,
l'âme troublée d'une aussi dure leçon
- Manma, je sais maintenant ...
Dans ton beau regard si doux, si profond,
mon fils, une ombre noire est passée.
Dzovinar
*Manma (depuis toujours) : maman
Les "Jeunes- Turcs s'imaginaient que tout serait oublié dans quelques années, mais c'est le contraire, ce que la 1ère génération de rescapés n'a pas pu faire, leurs descendants le feront !
RépondreSupprimerLouise
Comme c'est juste, chère Louise ! Il n'est que de voir l'enthousiasme de nos jeunes gens pour renouer avec les traditions du passé, leur désir d'apprendre, de comprendre leur histoire, l'éclosion incroyable de talents dans tous les domaines, pour en être convaincus ! Ils sont là, et bien là !
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