Pastel - Dzovinar
C'est le moment du jour
où, tel un point d'orgue,
tout se pare soudain
d'une lumière particulière,
emportant déjà vers le prochain sommeil
les arbres, les êtres et les choses.
Le coeur humain désarmé,
s'ouvre malgré lui
offrant à la mélancolie
la litanie de ses peurs,
et chagrins et colères.
Puis
exorcisant ses manques,
rejetant ses doutes,
se purifie tout imprégné,
en cette fin de jour,
d'essences végétales odorantes
qu'exhale, dernière offrande,
chaque feuille du tapis de l'automne.
Dans l'allée aux oiseaux,
où règnent paix et sérénité
l'âme enfin se repose.
Dzovinar
où, tel un point d'orgue,
tout se pare soudain
d'une lumière particulière,
emportant déjà vers le prochain sommeil
les arbres, les êtres et les choses.
Le coeur humain désarmé,
s'ouvre malgré lui
offrant à la mélancolie
la litanie de ses peurs,
et chagrins et colères.
Puis
exorcisant ses manques,
rejetant ses doutes,
se purifie tout imprégné,
en cette fin de jour,
d'essences végétales odorantes
qu'exhale, dernière offrande,
chaque feuille du tapis de l'automne.
Dans l'allée aux oiseaux,
où règnent paix et sérénité
l'âme enfin se repose.
Dzovinar
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