Dzovinar - pastel - d'après Leonid Afremov
Pourquoi faut-il toujours
quand naît trop de beauté,
qu'elle illume le jour
l'inonde de bonheur
que se glisse au coeur
telle une épine, inséparable,
la douleur ?
Etrange couple
qu'un invisible lien
tient enchaîné pourtant.
Est-ce donc un sort inéluctable
que de ne pouvoir accueillir l'un, sans l'autre ?
Dzovinar
Pourquoi faut-il toujours
quand naît trop de beauté,
qu'elle illume le jour
l'inonde de bonheur
que se glisse au coeur
telle une épine, inséparable,
la douleur ?
Etrange couple
qu'un invisible lien
tient enchaîné pourtant.
Est-ce donc un sort inéluctable
que de ne pouvoir accueillir l'un, sans l'autre ?
Dzovinar
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