Je n'ai pas compris tout de suite
qui tu étais.
Pourtant, tout de toi le disait.
Ce regard tranquille et profond
d'une infinie douceur
apanage de l'innocence
et cette aura qui accompagne
sans cesse l'être d'exception
qui porte en lui toute la sagesse
d'un monde intérieur reçu en don
dont il est seul dépositaire
et qu'il dispense dans les ailleurs
car telle est sa mission ...
Maintenant que je Sais
je suis ton terrible destin
et me demande avec inquiétude,
quand j'aperçois parfois, furtive,
une ombre dans tes yeux,
si le bonheur existe pour toi
si tu es heureux.
Oui, tu ne le sais pas,
mais je m'inquiète pour toi
étonnant Petit Prince ...
Dzovinar
Je ne sais pas qui est ce petit prince
RépondreSupprimerAu vu des dessins de Lygéros, c'est peut-être lui ? Ou Mickaël
Mais ton poème est vraiment très doux et très beau.
Je t'embrasse très fort Dzovinar.
Bonne soirée
Il est des êtres rares qui marquent la vie de ceux qui les croisent y prenant une grande place. C'est ainsi qu'une affection profonde peut naître, à leur insu même, les rendant si proches, si familiers, que les aléas de leur vie provoquent interrogations, inquiétudes, car on les voudrait heureux et comblés, eux qui donnent tant d'eux-mêmes.
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