Sur la musique composée par Jean-Claude Petit pour le film
Mayrig de Henri Verneuil
Soudain, le voile épais est tombé,
Soudain, j’assiste désemparée,
A la souffrance de tout un peuple
Que son destin a conduit
Hors du pays d’Arménie.
Après tant de
tortures et de guerres
Après bien des souffrances
et des prières,
Ce qui ne paraissait alors que chimères
S’est allumé dans le ciel l’aube d’un nouveau destin !
Enfin, il renaissait de ses cendres
L’oiseau symbole d’immortalité,
Phénix comme ton nom me semble doux
A l’aurore d’un matin qui m’apporte enfin
Un pays.
Demain, nous ferons pousser les grains
Que tous nos ancêtres ont semés,
Alors, riche de tous ces trésors
La jeunesse à l’infini recueillera les fruits
De l’espoir.
Dzovinar
Le film m’avait profondément bouleversée en même temps qu’il m’apprenait une réalité que Je ne connaissais pas vraiment, et la musique si émouvante de Jean-Claude Petit qui s’adaptait si parfaitement au film, m’avaient donné l’envie d‘écrire un texte qui traduisait mes émotions et qui me permettait de les chanter .
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