Je songe ...
A ces autrefois
où seule la mer
offrait de nouvelles routes
vers de nouvelles contrées
où seuls des hommes sans peur
épris d'aventure, curieux,
pouvaient ainsi,
de naufrages en découvertes,
donner vie aux espoirs les plus fous
ou mourir avant la fin du rêve ...
Ces mondes dont, aujourd'hui,
nous abordons les rives
nous abordons les rives
comblent de leurs miraculeuses beautés
les attentes de nos âmes
ivres de pureté,
comme la vision sans cesse renouvelée
de grandioses paysages
de grandioses paysages
étonne et charme nos regards incrédules.
Loin de la terre des hommes
aux confins du monde
l'esprit s'échappe, s'élève,
et plane, si léger
quand il vogue sous la voûte éthérée
Ô temps, suspends ton vol ...
Ô temps, suspends ton vol ...
Dzovinar
Toujours plus loin. Notre horizon s'élargit. Et les Nina, Pinta et Santa Maria d'autrefois portent aujourd'hui les noms de Voyageur ou de Phoenix.
RépondreSupprimerL'esprit sera t il totalement libéré quand nous aurons atteint les limites de l'Univers? Est ce l'Amour qui va gagner?
Je le souhaite de tout mon cœur ma chère Dzovinar.
Nous en tous les cas, nous avons nos rêves. Encore et toujours nos rêves.
Je t'embrasse.
Le miracle c'est de vivre, grâce aux rêveurs d'antan, nos propres rêves.
RépondreSupprimerSinon, sommes-nous vraiment libres, de quoi que ce soit ? On s'efforce de le croire.
Je t'embrasse chère Marie-Hélène.
Magnifique maman!
RépondreSupprimerEt très beau message de Marie-Hélène.
Les mots sont si précieux, je pense aux animaux qui ne peuvent les livrer et qui subissent...
C'est vrai les animaux dont les droits sont occultés depuis trop longtemps savent pourtant se faire comprendre pour peu que nous leur accordions l'attention et le droit à la vie qu'ils méritent !
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