jeudi 22 décembre 2016

Le retour indispensable - L'amour de l'Humanité (Nouvelles suite) - N. Lygeros



Le retour indispensable

N. Lygeros
Traduit du Grec par A.-M. Bras


Tout ce qu'ils avaient fait ensemble ne suffisait plus. Une nouvelle guerre avait commencé pour les Justes. Il devait combiner le retour à la Résurrection. Ce fut la révolution de l'Humanité. Personne d'autre ne l'aurait faite. Les Droits de l'Humanité avaient besoin soutien, sinon ils mourraient avec les tortures des hyperstructures. Les jeunes innocents avaient besoin d'amour, l'humanité était l'expression de l'Humanité, mais l'amour était sa force à travers l’absence de haine. Les deux s’assirent enfin sans jamais laisser le morceau de cerveau photonique. Ils étaient connectés via le réseau profond. Ils traversèrent le monde parallèle de la vie, sans toucher les êtres. Ils activèrent le réseau de l'Humanité parce qu’il fallait qu’ils avertissent toutes les hyperstructures. Alors se répandit le mythe du sauveur, alors qu’il avait une double nature. Chacun de ceux, qui acceptait son message savait qu'était revenu l'être qu’ils croyaient être seulement un souvenir du passé alors qu’il était la mémoire du futur, le serviteur de l'Humanité.


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L'amour de l'Humanité

N. Lygeros
Traduit du Grec par A.-M. Bras


Ce fut la première fois que le réseau profond était utilisé comme un hymne d'amour pour résister ensemble à la barbarie des bêtes contre le sommeil de l'indifférence. Le souffle de la lumière ne devait pas s’arrêter. Ce n’était pas seulement pour les hyperstructures. Ils répétèrent le même phénomène lorsqu'ils brûlèrent les bibliothèques et personne ne résista, la prochaine étape était l'extermination des hommes parce que personne ne dirait rien à nouveau s’ils appartenaient à une catégorie différente. Maintenant ils avaient déjà éliminé l'humanité des hyperstructures. C’était une approche polémologique. Pour prendre la ville ils détruisaient tous les châteaux qui la protégeaient. Pour détruire les châteaux, ils frappaient d’abord les tours. Mais le coup était encore plus profond. La barbarie n'avait jamais accepté la vie sans existence. Elle avait encore crucifié la lumière. En vain, car celle-ci était revenue pour vaincre l'obscurité. Leur message ne disait pas attention aux victimes, mais prière pour les innocents. A cause de la terrible force de vie.

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