Eclatée
l'épée,
dispersés
les restes.
Une force
venue
du fond des âges
pourtant
insuffle
à ce peuple persécuté
le courage
de revivre,
leur donne
foi
en l'avenir.
Dérisoire ?
Peut-être.
Les restes de l'épée,
graines
que le vent
de la tourmente
a porté
loin de leur terre,
poussent désormais
là où elles se sont plantées,
vivaces,
fertiles.
Enterrées
les terreurs passées,
elles seront
la promesse
de
lendemains
glorieux.
Je veux y croire.
Je veux y croire.
Dzovinar
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Quelques lignes signalant votre passage me feront toujours plaisirs. Si vous n'avez pas de blog, vous pouvez néanmoins poster un commentaire en cliquant sur "Anonyme" et signer de votre nom ou un avatar. Amicalement,
Dzovinar