Artsakh mon amour
Tant d'années nous séparent
du génocide de 1915
Le monde a évolué
Pourtant rien n'a changé
L'occident que nous admirions
est resté pleutre comme autrefois
terré comme larves
à l'abri des éclats
Le jour viendra sans doute
où nos coeurs s'apaiseront
Notre mémoire non.
Nous attendons le retour de bâton !
Et quand l'occident un jour
sera à feu et à sang
nous resterons terrés
comme larves
et nous regarderons
Dzovinar
Chère Dzovinar, j'ai le cœur brisé par ce que vit l'Arménie. Boris et moi suivons l'actualité et sommes révoltés par l'injustice et encore une fois de la lâcheté des nations. Je t'embrasse.
RépondreSupprimerJe découvre ton message ma chère amie ! Merci Nadezda et Boris pour votre attention qui m'a beaucoup touchée. Autour de moi, hormis notre communauté dans l'angoisse, nos amis français se sont montrés très ...discrets durant cette période difficile d'attente, d'angoisse, de tristes nouvelles annonçant chaque jour les morts de nos jeunes gens, des hommes tous si pleins de courage ! La guerre quoi dans son horreur ! Décevant ? non - écoeurant oui !
SupprimerMerci encore mes amis.
Je vous embrasse affectueusement