Brahim Ghali accusé de génocide
N. Lygeros
En Espagne, l’Audience nationale inculpe Brahim Ghali pour génocide. Plus précisément, il est accusé à la suite d’une plainte déposée par les victimes, membres de l’Association sahraouie pour les Droits de l’Homme. Les chefs d’inculpation sont : génocide, assassinat, blessures, terrorisme, tortures, disparitions, détention illégale. Ce mandat du juge espagnol a été réactivé ces jours-ci en raison de la possibilité de la présence du chef du Polisario en Espagne. Il avait déjà été cité à comparaitre par deux fois, mais celui-ci ne s’était pas présenté. Cette fois, à la suite de sa nomination à la tête du Polisario, il éclabousse sa propre structure de ses crimes. Seulement ceci est la conséquence de son élection. Si le Polisario voulait se donner une nouvelle image voire même progressiste il n’aurait pas choisi cette personne. Seulement cette structure, qui a largement dégénéré depuis ses débuts, est incapable de faire venir auprès d’elle un sang neuf aussi elle se contente de ce qu’elle a et de ce qu’elle est, à savoir un outil de propagande génocidaire qui est dépourvu de sens tant il ne représente même plus sa propre cause. Aussi l’accusation de génocide sonne aussi comme le début de la fin d’une erreur qui a généré tant de crimes et de problèmes.
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L'Ethiopie soutient le Maroc
N. Lygeros
La visite du Roi du Maroc en Ethiopie a porté ses fruits sur un point fondamental pour le Maroc à savoir le soutien de l’Ethiopie à sa décision de réintégrer l’Union Africaine. Il s’agissait d’une mission à accomplir dans un contexte difficile sur le plan international et délicat pour le Maroc. Aussi sachant que l’Ethiopie joue à fond la carte de l’Union Africaine dans le sens où elle affirme son engagement ferme pour la réalisation totale des valeurs et des principes africains, il est important de mettre en évidence son soutien envers le Maroc car cela signifie qu’elle considère que ce dernier représente un Etat dynamique et qu’il peut aider l’ensemble des peuples africains grâce à sa capacité à engendrer un processus stratégique capable d’apporter une nouvelle dimension au continent africain vis-à-vis des autres. Il faut noter aussi que l’Ethiopie voit dans cette alliance, la concrétisation d’un accord de construction d’un complexe de production d’engrais agricoles. C’est un investissement de plus de 2 milliards d’Euros sur cinq ans. C’est un premier pas pour l’Ethiopie pour devenir autosuffisante à l’horizon 2025. Il s’agit d’une opération gagnant-gagnant qui s’appuie aussi bien sur la stratégie que la tactique pour les deux pays.
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Avec la partie espagnole
N. Lygeros
Traduit du Grec par A.-M. Bras
Avec la partie espagnole
se poursuit le combat
pour étudier
plus encore
cette ouverture
du passé
qui a retenu
les éléments
offensifs
de notre époque
permettant
non seulement
des manoeuvres
mais
simultanément
des combinaisons
pour qu’apparaisse
la différence
qui fait
la différence
au niveau
diachronique
mais aussi officiel.
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Dans la blancheur
N. Lygeros
Dans la blancheur
du néant
il est possible
de discerner
les couleurs
de la vie
si tu résistes
au nihilisme
de l’absurde
et refuses
de t’agenouiller
devant la dictature
d’un prolétariat
qui ne s’occupe
vraiment
de ses citoyens
que pour mieux
les faire mourir
afin de réduire
toute possibilité
de résistance
humaine.
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Pense aux Justes
N. Lygeros
Pense aux Justes
si tu veux vraiment
lutter contre la barbarie
car ils représentent
un modèle à suivre
lorsqu’il s’agit
de combattre
pour l’avenir
de l’Humanité
face à l’horreur
d’un extrémisme
qui veut anéantir
toute trace humaine
chez un peuple
afin de le convertir
en esclave
d’une société
qui ne respecte
que la peur
et la terreur
car elle est
incapable
de construire
une civilisation.
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Partenariat historique entre le Maroc et Madagascar
N. Lygeros
Dans le cadre d’un partenariat Sud-Sud dans le continent africain, le Maroc et Madagascar ont concrétisé une volonté qui n’a plus rien de théorique. La preuve en est la présence de vingt-deux conventions et accords de coopération bilatérale qui touchent le secteur public, le secteur privé mais aussi le domaine juridique. Certes il y a un aspect économique sensible dans ce partenariat seulement il ne faut pas oublier les symboles et l’histoire. Les symboles correspondent aux plus hautes distinctions de chacun de ces deux pays qui ont été données aux deux chefs d’Etat. Cependant il y a aussi le cadre d’un passé commun au moment de l’exil du grand-père du Roi du Maroc mais aussi de son père dans les années 1954 et 1955. En d’autres termes il s’agit aussi de se retrouver dans le respect mais aussi dans la reconnaissance. En effet, ce point crée un lien entre les deux pays qui n’est pas seulement un contact ou une relation. D’ailleurs, ce point a été explicité via le lancement de projets sociaux dans la ville d’Antsirabe, par le Roi du Maroc puisque sa famille a vécu dans le temps à cet endroit. Aussi les centres hospitaliers et de formation professionnelle dans l’agriculture et le tourisme, sont la partie concrète d’une histoire commune pour les deux pays.
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