mercredi 28 novembre 2018

A Denis Donikian- Dzovinar

https://denisdonikian.wordpress.com/2018/11/26/je-suis-un-ecrivain-mort/#comment-5816


A Denis Donikian

La jalousie, la mesquinerie sont souvent de mise dans tous les milieux où l'art, le talent s'expriment. C'est surprenant, tant on voudrait qu'au moins dans ces milieux justement, la médiocrité de tels sentiments en soit bannie.  Je rêve d'esprits supérieurs capables  de reconnaître le talent pour le plus grand bien d'une communauté qui l'a enfanté en quelque sorte ; Mais non, les ego ont du mal à s'effacer devant l'évidence d'un talent qui les dépasse. Ceux qui se croient du coup bien meilleurs que ceux qu'ils mettent  en avant , s'y adonnent avec hypocrisie  et délectation. Les "nominés" se répandent en remerciements qu'ils dispensent généreusement, ajoutant ainsi à l'importance que se donnent les "décideurs" !  Denis, sois en sûr, ton talent d'écrivain ne peut se mesurer à l'aune de médailles  qu'on pourrait te décerner, ni dépendre de toutes les reconnaissances que les esprits chagrins, malveillants, sans intérêt finalement, te refusent. Nous sommes fiers de ne pas être de ce troupeau-là, mais de celui, plus restreint peut-être, de ceux dont l'esprit ô combien éclairé, a su découvrir celui qui marquera à jamais, quoi que l'on en dise, les pages de la littérature arménienne.    

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Quelques lignes signalant votre passage me feront toujours plaisirs. Si vous n'avez pas de blog, vous pouvez néanmoins poster un commentaire en cliquant sur "Anonyme" et signer de votre nom ou un avatar. Amicalement,
Dzovinar