Isabelle-Achrène YVOS
a obtenu 1,51 % avec 530 voix
pour la 4e circonscription du Val de Marne
et les trois autres candidats :
- Thibaut Tanguy 5e (1,43 % avec 616 voix),
- Sylvie Gackière 8e (1,71 % avec 717 voix)
- Christelle Kaczmarek 9e (1,60 % avec 358 voix)
OBJECTIF ATTEINT POUR LE VAL DE MARNE !
****Si le Parti animaliste fait plus d’1% dans plus de 50 circonscriptions, il recevra 1,40 euro par voix collectée****
QUELQUES INFOS SUR LE PARTI ANIMALISTE ET LES RESULTATS ESCOMPTES LORS DES ELECTIONS LEGISLATIVES
"Sur les affiches du parti, aucun nom, aucune photo des candidats mais un petit chat aux yeux ronds. «Notre stratégie est de montrer que nous sommes désintéressés à titre individuel. Une affiche identique sur tout le territoire national nous permet aussi d’optimiser notre visibilité», explique Hélève Thouy. Et d’être relayés sur les réseaux sociaux, spécialisés dans les photos de chats virales.
Côté adhérents, les profils sont aussi très variés : ils sont de tous âges, de toutes catégories sociales, ruraux et urbains. Hélène Thouy admet que son parti a encore du mal à savoir quel peut être son cœur de cible et espère que certains abstentionnistes se tourneront vers son parti. «Il est un peu trop tôt pour se prononcer mais on peut parler d’un électorat assez proche de celui des écologistes. Il se caractérise par le fait qu’il est plus jeune que la moyenne nationale et qu’il a surtout un niveau d’études élevé», estime le politologue Daniel Boy.
Quelle est sa stratégie aux législatives ?
«Ils n’auront aucun élu lors de cette élection. La raison est simple : avec le mode de scrutin uninominal à deux tours, ils vont rapidement être éliminés» , explique Etienne Ollion, chargé de recherche en sociologie politique au CNRS. Constat que fait aussi le Parti animaliste, qui ne se fixe pas d’objectif précis. «Quels que soient les résultats, nous considérons que c’est positif. Le fait de susciter le débat dans le cadre de ces élections sur la question animale est déjà une avancée» , soutient Hélène Thouy. Le Parti pour les animaux aux Pays-Bas a, lui, 8 sièges au Parlement, mais cette percée est favorisée par le scrutin proportionnel, ce qui n’est pas le cas en France.
«Ils n’auront aucun élu lors de cette élection. La raison est simple : avec le mode de scrutin uninominal à deux tours, ils vont rapidement être éliminés» , explique Etienne Ollion, chargé de recherche en sociologie politique au CNRS. Constat que fait aussi le Parti animaliste, qui ne se fixe pas d’objectif précis. «Quels que soient les résultats, nous considérons que c’est positif. Le fait de susciter le débat dans le cadre de ces élections sur la question animale est déjà une avancée» , soutient Hélène Thouy. Le Parti pour les animaux aux Pays-Bas a, lui, 8 sièges au Parlement, mais cette percée est favorisée par le scrutin proportionnel, ce qui n’est pas le cas en France.
Alors, pourquoi se présenter aux législatives ? Parce que ces élections peuvent jouer un rôle d’accélérateur très fort. «C’est un moment d’intense exposition médiatique pour tous les partis qui n’ont pas l’habitude de se faire entendre, analyse Etienne Ollion. Outre la promotion d’une cause, il y a aussi une dimension financière et l’espoir de bénéficier de subventions publiques. Ainsi, le parti peut se structurer et davantage investir le terrain politique au coup suivant.» ****Si le Parti animaliste fait plus d’1% dans plus de 50 circonscriptions, il recevra 1,40 euro par voix collectée****. Cela permettrait au parti d’être plus ambitieux dans la préparation des européennes, élections dans laquelle il souhaite s’allier avec des partis animalistes de pays voisins."
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